
Bruno Personnaz
Magnétiseur - Energéticien - Coupeur de feu
à Bordeaux

Le magnétiseur pour lutter contre la fatigue chronique à Bordeaux
Le syndrome de la fatigue chronique peut survenir à la suite d’une attaque virale et peut durer plusieurs années. Il se peut aussi que cela survienne parce que mon système de défense naturelle du corps, mon système immunologique est affaibli. Il se peut aussi que mon psychisme soit atteint en raison d’une dépression, du stress, de la démotivation, du surmenage, etc.
La fatigue chronique peut être soulagée par l’intervention d’un magnétiseur. En rétablissant la circulation énergétique dans les centres liés à la vitalité et en stimulant la circulation sanguine, le magnétisme favorise la libération des blocages physiques et émotionnels, réduisant ainsi l’épuisement et facilitant une récupération progressive. Bien qu’il ne remplace pas un traitement médical, le magnétiseur propose une approche complémentaire efficace pour restaurer l’équilibre intérieur, apaiser le corps et l’esprit, et soutenir un mieux-être global durable.
Si vous souhaitez explorer cette méthode ou en savoir davantage, je suis à votre disposition pour vous accompagner dans votre démarche de soin et d’harmonie. N’hésitez pas à me contacter pour une séance personnalisée.
La fatigue chronique : Quand l’épuisement émotionnel devient une lutte intérieure
Mentalement, je suis épuisé et cela se reflète par mon instabilité émotive. Je dépense toute mon énergie à m’apitoyer sur mon sort. Je voudrais tellement être reconnu et admiré des autres Cependant, cela est difficile car je me crée une autre personnalité pour répondre au désir des autres et mon vrai moi est complètement mis de côté. Je ne vois pas mon avenir d’un bon œil. Physiquement, je souffre de maux de tête et ma force musculaire s’amenuise petit à petit. Le moindre effort provoque une fatigue intense. J’ai perdu le goût de vivre. Où sont passés mes rêves et mes ambitions ? J’ai dû les sacrifier au nom de la réussite et de la performance que la société exige de moi ou que je m’impose moi-même. Je suis intransigeant. Je veux me débrouiller seul et j’hésite à demander de l’aide. Pourtant, je veux tellement réussir tout ce que j’entreprends. J’ai aussi très peur de l’échec, de la vie et des responsabilités. Je me sens incapable de répondre à ce qu’on attend de moi. J’ai l’impression que je suis descendu tellement bas que je ne peux plus remonter la pente.
Cette maladie peut apparaître suite à un événement, tel un accident où j’ai survécu, alors que d’autres sont décédés. La culpabilité rattachée à ma survie ( "pourquoi moi et pas l’autre et pas moi ?" ) peut être si grande. qu’elle consomme toute mon énergie. En fait la maladie me permet de me retirer. Elle est mon excuse pour ne pas agir et peut-être un moyen de recevoir plus d’attention. Je me sens ainsi plus en sécurité dans ma maladie que dans ma confrontation avec la vie. Qu’est-ce que je vivais au moment de l’attaque virale ? Avais-je décidé de quitter mon foyer ? Est-ce que je venais de vivre un décès, une rupture, un rejet ? Je prends conscience que tout cela est relié à l’amour pour mes proches ou que j’ai pour moi. Je me détruis en voulant constamment vivre ma vie avec ma tête alors que je devrais plutôt la vivre avec mon cœur et mes « tripes ». Je m’entête trop et je dépense une énergie folle à m’obstiner alors qu’il serait beaucoup plus facile de suivre le courant. Je prends conscience à quel point il est facile pour moi de me dénigrer, de m’abaisser, de me comparer négativement aux autres. Plus je me vois d'une façon négative, plus je diminue mon énergie vitale et je m’autodétruis.
Pistes à suivre
J’accepte d’apprendre à m’aimer davantage. Je suis la personne la plus importante de ma vie. En apprenant à m’aimer, je fais les choses pour moi et je profite de chaque instant. Je fais partie de l’univers où la réciprocité est loi. Je m’aime. J’attire donc l’amour des autres en retour et je les aime aussi. Je fais confiance à l’univers qui m’aide à avancer chaque jour. En écoutant ma voix intérieure, j’évite les détours inutiles qui demandent beaucoup d’énergie. Je pourrais ainsi utiliser cette énergie économisée, à faire des choses que j’aime et qui m’aident à reprendre contact avec mes qualités profondes et qui me redonnent goût à la vie. J’accepte que toute situation est parfaite. Je remplace toutes mes obligations par des choix de vie. Je crée ainsi librement mon futur.
(Jacques Martel - Le grand dictionnaire des malaises et des maladies
Ed. Quintessence)
